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Maison : quels sols installer dans une salle d’eau ?

admin392 — Fri, 03 Jul 2020 07:49:44 +0000

Par salle d’eau, on entend généralement les toilettes et la salle de bain. Ces pièces figurent parmi les plus fréquentées dans une maison et le taux d’humidité y est très élevé. Il est donc primordial que le sol installé dans ces pièces soit adapté à cet environnement. Se pose alors la question de savoir quels sols installer dans une salle d’eau et quels sols il faut éviter ?

Le carrelage : la meilleure alternative

Salle d’eau et carrelage vont souvent de pair. En effet, ce type de revêtement a tout ce qu’il faut pour s’adapter parfaitement à ce type de pièce.
D’abord, le carrelage résiste très bien à l’humidité, à la chaleur, à l’usure et à la moisissure. Autrement dit, il peut être mouillé ou éraflé et ne subir aucun dégât. Il peut ainsi durer des dizaines d’années. Ensuite, il est disponible en plusieurs motifs et est même disponible en version antidérapant.
Par contre, le carrelage coûte assez cher, surtout s’il s’agit d’un modèle de qualité et est difficile à poser.

Le sol en PVC

Le col en PVC se présente comme une véritable innovation en matière de revêtement pour ce sol. Ce dernier à l’avantage d’être imperméable et facile à installer. En effet, il suffit de très peu de matériel pour poser un sol en PVC et tout le monde ou presque peut le faire. Le sol en PVC s’adapte très bien aux salles d’eau et aux pièces où le taux d’humidité est très élevé.
Toutefois, il s’agit d’un revêtement relativement fragile. Il faudra donc veiller à ne pas trop érafler le sol.

La pierre naturelle

A la fois rustique et raffinée, la pierre naturelle apporte du style aux salles d’eau. Le principal avantage de ce revêtement de sol est qu’il est très robuste, en plus d’être imperméable. Cependant, il se présente aussi comme le revêtement de sol le plus difficile à poser.

Pourquoi utiliser des équipements de protection individuelle professionnel ?

admin392 — Mon, 29 Jun 2020 16:40:56 +0000

Pour prévenir les risques professionnels, certains travailleurs doivent porter des équipements de protection individuelle ou EPI. L’utilisation de ces équipements permet ainsi de protéger les travailleurs contre les risques d’accident, de chute, de coupure, etc. Les équipements de protection individuelle peuvent apparaitre sous différentes formes.

Les différentes formes d’équipements de protection individuelle

Un équipement de protection individuelle peut apparaitre sous forme de bouchons d’oreilles, de dispositifs de protection respiratoire, de lunettes de protection, de systèmes d’arrêt des chutes, de gants de protection, etc. Ces équipements permettent de protéger les ouvriers contre des risques professionnels de natures diverses tels que :
– le risque biologique comme l’inhalation d’agents biologiques,
– le risque chimique comme le contact avec des produits chimiques,
– le risque mécanique comme les chutes depuis une hauteur,
– le risque électrique,
– le risque thermique.
Certains équipements de protection individuelle permettent de se protéger contre plusieurs risques. C’est notamment le cas des cagoules de soudage qui permet de protéger l’opérateur à la fois contre les rayonnements sur les yeux et le risque d’aspiration de fumées. À noter que le port d’équipement de protection individuelle est obligatoire dans le milieu du travail si celui-ci présente des risques évidents. C’est l’employeur qui doit déterminer et évaluer au préalable les risques avant d’établir les mesures de prévention nécessaire pour garantir la sécurité et la santé de ses ouvriers. Des mesures doivent être adoptées afin de réduire ou d’éliminer totalement les risques.

Comment choisir les équipements de protection individuelle ?

Il faut toujours choisir les équipements de protection individuelle en fonction du travail à effectuer et des risques à prévenir. Pour cela, il est essentiel d’analyser le poste de travail et ses caractéristiques, d’évaluer la fréquence d’exposition et de vérifier les performances des équipements de protection individuelle. Il faut aussi garantir que l’équipement de protection adopté est confortable pour que son utilisateur ne ressente aucune gêne à le porter toute la journée. Il faut vérifier que l’équipement est vraiment commode, facile à mettre et à enlever, qu’il est compatible avec le travail à effectuer. Par exemple, il faut vérifier que la chaussure de protection correspond à la pointure de son utilisateur et qu’elle n’est pas trop rigide. Les gants anti-coupure doivent également être à la bonne taille et flexibles pour faciliter la manipulation des objets et éviter les coupures. Avant de choisir un équipement en particulier, l’idéal est d’effectuer un essai pour voir qu’il est adapté et qu’il n’est pas inconfortable. Vous pouvez aussi prendre en compte l’esthétique de l’équipement. Notons que, selon le Code du travail, les équipements de protection individuelle doivent être gratuitement mis à la disposition des ouvriers par l’employeur. Les moyens permettant de garantir l’état d’hygiène de ces équipements, comme le lavage, doivent aussi être fournis gratuitement.

Où trouver des équipements de protection individuelle ?

Vous trouverez différentes sortes d’équipements de protection individuelle dans des magasins spécialisés, mais vous pouvez aussi en acheter sur interne. L’entreprise Oxwork propose un large éventail d’équipement de protection individuelle de qualité parmi lesquels les professionnels peuvent choisir selon leur besoin. Vous pouvez trouver un masque anti-projection jetable Safety Jogger, des gants tricotés, des chaussettes de travail, une manchette anti coupures, un casque de chantier, etc.

Café moulu, dosette, capsule : que choisir pour boire un bon café ?

admin392 — Thu, 25 Jun 2020 11:38:26 +0000

En France, près de 75% de la population est concernée par la consommation de café, en moyenne deux fois par jour. Ce breuvage possède d’innombrables vertus et est reconnu depuis des siècles, pour ses valeurs gustatives. Toutefois, avec les nombreuses variantes de café existant aujourd’hui, il est parfois difficile de choisir le café qui permettrait de ressentir de réelles sensations. Même si certaines personnes arrivent à satisfaire leurs désirs en matière de goût, la préparation du café pose toujours problème. Vous découvrirez, en lisant ce texte, des conseils pour arriver à toujours boire du bon café.

Comment reconnaître le bon café ?

Pour reconnaître le bon café, il y a plusieurs critères qui doivent être pris en compte. Le temps de torréfaction est un critère de choix. Un café bien torréfié pour garder ses valeurs gustatives, doit être dégusté dans un délai réglementaire ; généralement un ou deux mois après sa fabrication. Aussi, la mouture du café doit être faite en dernier lieu, avant consommation. Cela permet de conserver les arômes qui s’y libèrent lors de la préparation du café. Avec du
café artisanal, vous pourrez ressentir la sensation d’une torréfaction instantanée et une saveur aromatisée alliant acidulation et douceur.
La difficulté aujourd’hui, c’est que la plupart des cafés sont déjà moulus avant l’achat. S’il est vrai que la consommation de café, dans ces conditions, est plus usuelle, il est quand même possible de conserver les valeurs du café en capsule ou du café déjà moulu, en évitant de le mettre au frigo ou en l’entretenant dans des conditions optimales de température. Il faut ajouter qu’il est important de tenir compte de sa zone de production, avant la préparation du café. L’Afrique, l’Amérique du Sud et l’Asie sont réputés pour la culture du café arabica ou robusta, pouvant être torréfié et moulu en France.

Quels sont les différents types de dégustation possibles en matière de café ?

Les amateurs de boisson chaude ont aujourd’hui la possibilité de satisfaire leurs papilles gustatives en scrutant diverses formes de café. En premier lieu, il y a le café moulu qui est d’ailleurs le plus consommé au monde. Le goût a une réelle importance, si vous voulez profiter des différents avantages sanitaires qu’offre la préparation du café bien sélectionné. La capsule café bio, compatible avec les machines Nespresso ou une simple cafetière, en est un exemple palpable. Il existe d’autres formes de café aux goûts exceptionnels : le café artisanal, les dosettes, le café soluble le café éco-responsable…
Par ailleurs, il existe plusieurs sensations gustatives du café. Déjà, les fabricants s’y mettent de façon véritable pour offrir plus d’arômes ; élargissant ainsi les options, au libre choix des consommateurs. Il y a sur le marché plus de 1200 arômes de café en capsule. Il est également primordial de tenir compte de votre état de santé pour la préparation du café, au goût qui vous convient. Pour en choisir, vous pouvez vous baser sur les critères liés à l’acidité, l’amertume et le goût salé ou non du café.
Certaines personnes se servent d’une cafetière traditionnelle pour préparer le café moulu, avec originalité. Mais lorsque l’envie d’un café est pressante, une machine peut être plus efficace et l’onctuosité du café qui en sort est remarquable. Certaines personnes, lorsqu’elles connaissent la zone de production du café (Brésil, Colombie, Pérou, Honduras, Indonésie, Italie…), sont capables de laisser entrevoir facilement leur passion pour la préparation du café.

Quelques conseils pour préparer efficacement son café !

La révolution verte que connait actuellement le monde fait que les fabricants innovent sans cesse, en mettant sur le marché, différentes formes de dosettes ou en capsules écologiques et biodégradables. Le marché du café étant concurrentiel, il faut avoir du flair pour faire votre choix en misant, non seulement sur le goût mais également sur la forme, la torréfaction et la mouture du café.
Pour obtenir une boisson chaude agréable à la dégustation, il faut d’abord choisir un café de qualité et faire ensuite un bon dosage. En procédant à la préparation du café, avec une machine ou une cafetière, il faut garder à l’idée qu’à une tasse de 250 ml correspond 15 g de café. Pour finir, retenez aussi que tous les cafés (surtout le café artisanal) sont des stimulants naturels pouvant être utilisés pour estomper la faim, en attendant d’avoir un repas sous la main.